Classe de Prestige
Le Danseur de Guerre
Le Danseur de Guerre
Introduction :
Ce sujet présente du contenu dit custom", c'est à dire du contenu créé pour le module de Solarune par ses propres développeurs et donc uniquement accessible sur notre serveur. Le jeu de base ayant lui même son lot de "bugs", les ajouts créés et importés de toute pièces par des développeurs "amateurs" sur leur temps libre peuvent avoir divers "soucis", comme des incohérences de descriptions et divers problèmes : si vous en trouvez, merci de les remonter au staff de Solarune. Profitez bien de ce contenu additionnel et bonne lecture!

I) Le Danseur de Guerre en roleplay :
Sur Solarune, nous n'avons jamais attendu des joueurs que leurs classes de personnage soient jouées à la perfection. Le Danseur de Guerre n'échappe point à la règle, toutefois, quelques "notions" sur la manière dont peut être jouée la classe ne font pas de mal... D'autant plus qu'il y a plusieurs manières de voir cette classe!
Introduction :
Le Danseur de Guerre est un combattant sans armure et qui n'utilise qu'une seule arme, souvent la plus légère possible, quand cela n'est pas directement ses poings. Son art martial prend tous son sens dès qu'il dispose d'un allié avec qui combattre : le Danseur profite de la moindre opportunité et ouverture créée par son partenaire, tout en couvrant ce dernier. Si son "partenaire" est assez agile pour suivre son rythme (ou mieux, s'il s'agit d'un autre Danseur de Bataille), cet art magnifiquement mortel n'en est que plus efficace.
Sur Faerun :
Lorsque l'esclavage est établi, ceux oppressés par la Tyrannie doivent trouver des moyens subtils pour renverser leurs maîtres. Dans les plus tyranniques des régimes, armes, armures, sorts et autres armes potentielles sont gardés étroitement. Un esclave avec une épée est un rebelle. Ainsi, ces régimes font tout ce qu'il faut pour garder leurs esclaves non-armés. L'art du danseur de bataille s'est créé parmi les plus oppressés des esclaves. Personne ne peut dire s'ils sont apparu en premier parmi les esclaves des drows ou les cages d'un tyran. L'art du danseur de bataille est né des danses et chants innocents des esclaves durant leur peu de temps libre. Car même le plus cruel des tyrans laisse parfois du lest, car il sait qu'un esclave qui n'a rien à perdre est un futur rebelle.
Bien que l'art du danseur de bataille ressemble aux arts martiaux des moines, là où le moine embrasse l'ordre, le danseur de bataille embrasse le chaos et la sauvagerie. Un moine entraîne son corps à résister aux attaques via une volonté d'atteindre la perfection. Un danseur de bataille s'entraîne à attaquer fort et vite afin de neutraliser ceux qui s'oppose à lui. Souvent nombreux, les esclaves qui développèrent cet art martial en firent un "style en duo", ou l'un couvre et soutien l'autre : dans un combat opposant deux ennemis à deux danseurs de bataille, l'on a l'impression que les danseurs affrontent tous les deux chaque ennemis dans une danse aussi belle que confuse, ce qui ne l'empêche pas d'être mortellement efficace...
Les Danseurs des Sibylles d'At'Ar Telas :
La cité des sables d'At'Ar Telas possède des combattants de qualité, même si la cité marchande est peu connue pour ses forces armées. Parmi eux, l'on peut noter l'existence des "Danseurs des Sibylles" un ordre de Danseurs de Guerre particulièrement redoutable. Très religieux, ils choisissent de vénérer l'une des deux divinités de la cité des sables : At'Ar ou Telas. Etrangement, les Danseurs de Telas sont presque aussi nombreux que les Danseurs d'At'Ar (qui est pourtant surnommée la "Danseuse des Vents") : d'ailleurs, les futurs Danseurs de Guerre sont généralement formés en "duo" avec un adepte de l'autre divinité, pour le coté "symbolique" des deux divinités protégeant ensemble la cité malgré leurs différents.
La formation des Danseurs est assurée par les Danseurs eux-mêmes. En effet, quand un Danseur perd son partenaire (ou quand ils se font tout simplement trop vieux), son "but" doit être de former un nouveau duo de Danseurs (les apprentis potentiels ne manquant pas : tous, riches comme pauvres, s'accordent pour dire que c'est un honneur de voir son enfant choisi pour apprendre cet art). Les rares jumeaux de la cité ayant un minima de potentiel guerrier attirent à coup sûr l'intérêt des maîtres Danseurs, de tels enfants ayant dès la naissance une prédisposition pour cet art.
Fait très rare à Ar'Ar Telas, les adeptes de cette discipline ne sont pas du tout machistes et acceptent des femmes dans leur rang : d'ailleurs, la plupart des maîtres choisissent volontairement de former un couple de sexes différents (les Danseurs ne reconnaitront jamais officiellement le sexe comme une méthode d'entrainement pour que les apprentis deviennent encore plus "fusionnels"... Malgré cela, le fait que les maîtres "oublient" des herbes contraceptives à portée de main des jeunes et les fassent dormir dans le même lit ne dupe plus grand monde).
Pour que le duo devienne le plus efficace et fusionnel possible, les maîtres Danseurs n'hésitent pas à mettre toutes les chances de leur coté : en plus de journées interminables d'entrainement, l'un des "grands classiques" est par exemple l'isolement avec uniquement ses apprentis dans le désert (une fois qu'ils sont assez âgés et ont acquis quelques bases). Il n'est pas rare que les maîtres échangent temporairement des apprentis ou organisent des duels entre "couples" : pratiquer un art martial qu'avec une seule et unique personne n'est pas toujours bénéfique.
Les Danseurs Elfiques :
Un art martial qui mélange beauté et souplesse ne peut bien évidement ne pas exister chez le Beau Peuple. Son origine du coté elfique est probablement liée aux drows bons d'Eilistraë, la danse faisant partie des rites classiques de la Vierge Lunaire. Ayant tout leur temps pour peaufiner et apprendre cet art, les elfes sont capables et habitués à le mettre en pratique avec n'importe quel individu assez agile pour parvenir à suivre un minima.
Tout simplement transmis entre eux, les danseurs elfes n'hésitent pas à former à leur art n'importe quelle personne qui désire l'être, parfois même des non-elfes. En effet, les danseurs elfiques retiennent davantage le coté "art" (et donc beauté) que "martial" de leur discipline : quel mal y a t'il a apprendre une belle danse a autrui, même si elle permet de découper efficacement un orque?