[Cité] Sultanat d'At'ar Telas
Posté : mer. 12 août 2020 14:40
Sultanat d'At'Ar Telas
Gouvernement : Sultanat absolu héréditaire, secondé par quelques Vizirs (Ministres) , et assisté d'un conseil des Princes des grandes familles marchandes ("Les Cinq")
Dirigeants : Razad Abd El Hamid, Razad II dit "le prudent", bien connu pour ses talents de diplomate... pour le moment.
Religions :
Majeure : At'ar, Télas, Waukyne
Mineure : Sharess, Mask, Garagos, Grumbar, Akadi , Beshaba
Alignements : Loyal Neutre, Neutre, Neutre Mauvais, Chaotique Neutre, Chaotique Mauvais
Population : environ 3500 habitants à demeure, qui varient selon les étapes des quelques tribus nomades du Désert de Feu. Le désert compte quand à lui non loin de 2500 personnes dispersées en diverses tribus (dont 450 rien qu'au Sanctuaire). Le nombre d'esclaves est d'environs 250 (dont une bonne moitié rien que pour les mines des Princes Marchands). Un bon tiers de la population du désert est constituée de réfugiés de la cité d'Antalya.
Composition : Humains 90%, 5% de Félis, 1% demi-orques ; Génasis (surtout de Feu) 1% ; Autres 3% dont (elfes, nains, halfelin et autres demi...)
Histoire :
La légende raconte que le Grand Désert de L'ouest est le résultat d'une expérience du Mélnotiarque (les médisants raconte qu'elle fût ratée, mais quelle infamie, le Grand Thorgan rater une expérience? pfff!). Mais cette version fait cracher les Artésiens (et c'est notable, car garder son Eau est vital pour un Artésien!). Pour eux, mais c'est peu connu car il n'y a aucun trace écrite des Traditions des peuples du désert, ils sont les Enfants des Dunes brûlantes de Telas et des Vents Torrides d'At'Ar. Toute autre version ne mérite que de répandre le sang de l'auteur mécréant pour nourrir le sable.
Avec le temps, toutefois, certains érudits, marchands et nobles de la cité acceptent de reconnaître la vérité historique... Après tout, il suffit qu'un Artésien croise un Calimshite pour qu'il comprenne qu'il y a anguille sous roche et qu'ils ont fort probablement les mêmes origines. Ceux là acceptent alors la vérité, celle contée ailleurs en Menolpée : le désert est le résultat de la colère de Thorgan contre les elfes qui résidaient à l'ouest de la Menolpée, jadis. Les Artésiens furent tout simplement importés depuis le continent, probablement depuis le Calimsham et la Mulhorande et les déesses locales sont le résultat d'une expérience de Thorgan sur deux puissantes sibylles pour tenter de redonner un semblant de vie au désert, le Menoltiarque regrettant le résultat de sa colère sur son précieux royaume...
On dit aussi que la Grande Faille qui coupe la Cité de Feu d'Est en Ouest serait lié au cataclysme provoqué par l'élévation dans les airs de ce morceau de continent... Là encore, les études des Sages Artésiens n'apportent aucune certitude.
Le caractère fier et dominateur des hommes de cette contrée ont poussé quelques familles à s'émanciper au fur et à mesure du temps. Alors que la plupart sont rentrées dans le rang depuis l'accession au trône de la famille Abd El Hamid et la formation du Conseil des Princes, il reste quelques niches contestataires. La lignée des Ibn Hassan a souvent fait parler d'elle lors de rebellions, revendiquant son indépendance. La dernière en date a provoqué l'exécution par décapitation du patriarche Eden Ibn Hassan, le grand-père du prince actuel, et de l'allégeance sans condition de la famille pour ne pas subir le même sort...
Au fil des temps de trouble et des temps de paix, la cité a prospéré lentement en particulier à cause de sa situation géographique encaissée et son climat terrible. Elle a toujours été respectée et décriée à la fois (Tous des jaloux !). Ainsi, elle entretient des relations compliquées avec Solarune, parfois rayonnantes parfois plus sombres, sous couvert de rumeurs persistantes de contrebande de tout poil.
Mais les relations diplomatiques semblent s'être adoucies depuis la dernière guerre contre les orques, durant laquelle le Sultan s'est impliqué sans réserve au côté des solarii ! Son fils, Ali, jeune combattant à l'époque, a même été décoré avec son compagnon d'arme Arun Ibn Nadir, pour « service rendu », en toute discrétion bien sûr.
Noblesse :
Les Abd El Hamid :
Il n'y a pas de noble dans cette ville, sauf la famille du Sultan, Abd El Hamid. L'héritier du trone se nomme Ali Ibn Razad Abd El Hamid... et il a 12 frères (les sœurs ne sont pas prises en compte).
le Conseil des Princes :
Cinq familles de marchands dirigent le Conseil des Princes. La hiérarchie sociale est dictée par la richesse et la prospérité qui se mesure aux bijoux portés.
- Fayçal Ibn Nadir
- Abdul Ibn Hassan
-Norister Ibn Chassenuée
- Atoum Ibn Moussaoui
- Bilel Ibn Tariq
Militaire :
Force(s) armée(s) :
L'Armée d'At'ar Telas pour ainsi dire n'existe pas. Tous les artésiens sont capables de se défendre l'arme à la main si besoin et les marchands les plus riches se paient les services d'un mage et de mercenaires pour se protéger ou pour protéger leurs maisons. La cité dispose en permanence de mercenaires prêts à être embauchés car les caravanes et marchands en emploient constamment.
Le Sultan dispose de sa garde personnelle, et surtout de contingent de mercenaires selon le besoin (rare) et de la possibilité de lancer une conscription dans les esclaves.
La légende raconte que la famille du Sultan dispose à volonté de l'aide divine de la Légion de Sekmeth, une sorte de cohorte de fauve-démons. On ne sait pas vraiment s'il s'agit juste d'une légende ou non. Les meilleurs sabreurs de la cité, souvent d'anciens champions des combat d'arène, sont recrutés comme gardes du corps personnels de son Immensité.
- Armée : environ 50 Gardes du Palais (dont 15 dans sa Garde Rapprochée du Sultan) ; les cinq familles princières ont aussi leurs armées propres.
- Puissance navale et aérienne : At'Ar Telas ne possède officiellement pas de flotte, mais étant donné, elle peut compter sur tout le soutien de la flotte aérienne génasi, qui possède le « Djinn des Vents » (lors de sa tournée entre Antalya et At'Ar Telas).
Défense(s) :
- Fortifications : Situé dans un immense canyon la cité n'est accessible que par les airs ou par des gorges naturelles très faciles à défendre par très peu d'hommes. De plus, profondément enfoncée dans le désert brûlant, la logistique nécessaire à une invasion par voie de terre rend la chose quasi impossible. La cité comporte des murailles internes qui finissent d'empêcher toute invasion terrestre.
Diplomatie :
At'ar Telas garde une tradition de neutralité y compris avec les hommes du désert, le commerce d'esclaves en dépend, ainsi que la circulation dans le désert et de nombreuses marchandises (épices...) qui profitent au commerce de la cité.
Solarune : Neutre
une bande de voleurs qui se prétendent marchands! Tout ce qui ce vend de suspect en Melnopée vient de là-bas! Dommage qu'ils soient si influents pour le commerce légal... Le Conseil des Eminarques mets de l'eau dans son vin depuis l'assistance apportée dans la lutte contre les orques. La Guilde du Commerce s'intéresse de plus en plus à cette zone où tout est à faire.
Antalya : Neutre
Des traîtres qui ont bien vite oublié leurs maîtres... Leur salut ne tient qu'à leur commerce d'esclaves et de denrées d'En-Bas qui nous sont indispensables... Il y a peu de contact effectif.
Celvedorian : Neutre
Une population humaine de sauvages indignes de confiance. Nous n'avons que peu de rapports avec eux et c'est pour le mieux!
Ventmithral : Neutre
N'ont pas d'avis encore tant la ville est lointaine.
Galus : Neutre
Ne se sent pas concerné car ce n'est pas un port !
Brisevent : Neutre
Pour le moment, aucun réseau commercial ou diplomatique n'est encore engagé.
Hanteplaine : Neutre
Le replis de la cité de l'Ombre sur elle-même a fortement limité le contact avec At'Ar'Telas.
Economie :
At'Ar Telas est connue pour ses épices et ses esclaves... Mais aussi pour ses marchés: il n'y a pas de "marché noir" dans cette cité. Il n'y a aucune restriction sur le commerce, ainsi dés qu'un artésien a quelque chose à vendre, il devient commerçant!
La seule restriction est que dés qu'on souhaite avoir un étal ou même déposer sa marchandise au sol, il faut payer une taxe au Sultan. De même si l'on souhaite que la garde protège des voleurs à la tire qui sont assez fréquents... si bien que la plupart préfèrent payer. (Les mauvaises langues disent que le sultan aurait ses propres voleurs!)
Tant que quelque chose peut être vendu, c'est légal de le vendre! Ainsi, de nombreux navires venant du continent s'arrêtent en premier à At'Ar Telas pour y déposer leur cargaison "illicite" avant de partir pour Solarune.
La guilde du commerce de Solarune possède un comptoir situé près du souk.
Exportations : Pierres précieuses, soieries, encens, parfum, sable (construction, verrerie...) granit, sel, Huile végétale, épices, céramique, métaux rares.
Importations : Nourriture (Fruits, légumes, viande séchée ou fumée), eau, alcools divers, armes, outils, étoffes, bois, fer, objet magique.
La Magie :
On y trouve des mages et ensorceleurs, mais dans des proportions normales comparées au continent (soit environs un centième de la population) avec une forte tendance à la pratique des magies élémentaires.
Le Divin :
Tous les artésiens vénèrent At'ar (d'abord, car plus cruelle, sa bienveillance est une question de survie) et Telas, deux divinités élémentaires "mineures" locales. Les cultes habituels des Royaumes sont également présents.
La vie à At'Ar Telas :
Mentalité :
"La vie dans le désert est rude. Ne compte que sur toi même, ta famille et conserve ton eau comme ton propre sang. Tout ce dont tu n'as pas besoin, vends-le pour quelque chose d'utile."
Le Crime :
Tous les produits généralement interdits étant ici "légaux" il y a ici peu de rentabilité à espérer pour une organisation criminelle. Les voleurs à la tire et cambrioleurs la nuit marchands le jour, y sont toutefois assez nombreux, mais c'est un métier dangereux à At'ArTelas (surtout pour ceux voulant garder leurs mains) et aucune organisation d'envergure n'a réussi à y perdurer. Il y a toutefois quelques petites bandes "d'associés" qui font peu de vagues...
Les femmes :
Elles sont un statut très particulier, partagé entre objet de désir et objet de respect... quand c'est sa mère ! De fait, il n'est pas rare de voir la garde fermer les yeux devant des délits contre les femmes. Une visiteuse a tout intérêt à se drapper dans une cape longue et une capuche pour ne pas attirer les envies concupiscentes.
Le viol n'est pas considéré comme un crime... Mais reste toutefois illégal! Un tel acte pouvant faire l'objet d'une lourde amende s'il est commis de manière trop visible ou si la victime n'était pas particulièrement "provocante". De plus, même si les femmes sont considérées d'un rang moins élevé, le statut social reste : ainsi, oser toucher aux cheveux de la fille d'un Prince Marchand est extrêmement risqué et passible d'une amputation peu enviable... Les prêtresses des Sibylles et les étrangères (où, en langage Artésien : potentielles clientes!) font également partie des femmes un peu plus "respectées" que la norme.
Les cadeaux :
Il est de bon ton de ne pas fâcher son hôte quand on est convié. Ainsi, vous devez impérativement apporter un présent en remerciement de son invitation. Lui, de son coté vous accueillera avec un bout de pain salé et un dé d'eau. Veillez, cher invité, à offrir un présent en accord avec le statut social de votre hôte pour ne pas le vexer.
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Merci à Deirdre pour son énorme travail, et à tous ceux qui ont participé !
Gouvernement : Sultanat absolu héréditaire, secondé par quelques Vizirs (Ministres) , et assisté d'un conseil des Princes des grandes familles marchandes ("Les Cinq")
Dirigeants : Razad Abd El Hamid, Razad II dit "le prudent", bien connu pour ses talents de diplomate... pour le moment.
Religions :
Majeure : At'ar, Télas, Waukyne
Mineure : Sharess, Mask, Garagos, Grumbar, Akadi , Beshaba
Alignements : Loyal Neutre, Neutre, Neutre Mauvais, Chaotique Neutre, Chaotique Mauvais
Population : environ 3500 habitants à demeure, qui varient selon les étapes des quelques tribus nomades du Désert de Feu. Le désert compte quand à lui non loin de 2500 personnes dispersées en diverses tribus (dont 450 rien qu'au Sanctuaire). Le nombre d'esclaves est d'environs 250 (dont une bonne moitié rien que pour les mines des Princes Marchands). Un bon tiers de la population du désert est constituée de réfugiés de la cité d'Antalya.
Composition : Humains 90%, 5% de Félis, 1% demi-orques ; Génasis (surtout de Feu) 1% ; Autres 3% dont (elfes, nains, halfelin et autres demi...)
Histoire :
La légende raconte que le Grand Désert de L'ouest est le résultat d'une expérience du Mélnotiarque (les médisants raconte qu'elle fût ratée, mais quelle infamie, le Grand Thorgan rater une expérience? pfff!). Mais cette version fait cracher les Artésiens (et c'est notable, car garder son Eau est vital pour un Artésien!). Pour eux, mais c'est peu connu car il n'y a aucun trace écrite des Traditions des peuples du désert, ils sont les Enfants des Dunes brûlantes de Telas et des Vents Torrides d'At'Ar. Toute autre version ne mérite que de répandre le sang de l'auteur mécréant pour nourrir le sable.
Avec le temps, toutefois, certains érudits, marchands et nobles de la cité acceptent de reconnaître la vérité historique... Après tout, il suffit qu'un Artésien croise un Calimshite pour qu'il comprenne qu'il y a anguille sous roche et qu'ils ont fort probablement les mêmes origines. Ceux là acceptent alors la vérité, celle contée ailleurs en Menolpée : le désert est le résultat de la colère de Thorgan contre les elfes qui résidaient à l'ouest de la Menolpée, jadis. Les Artésiens furent tout simplement importés depuis le continent, probablement depuis le Calimsham et la Mulhorande et les déesses locales sont le résultat d'une expérience de Thorgan sur deux puissantes sibylles pour tenter de redonner un semblant de vie au désert, le Menoltiarque regrettant le résultat de sa colère sur son précieux royaume...
On dit aussi que la Grande Faille qui coupe la Cité de Feu d'Est en Ouest serait lié au cataclysme provoqué par l'élévation dans les airs de ce morceau de continent... Là encore, les études des Sages Artésiens n'apportent aucune certitude.
Le caractère fier et dominateur des hommes de cette contrée ont poussé quelques familles à s'émanciper au fur et à mesure du temps. Alors que la plupart sont rentrées dans le rang depuis l'accession au trône de la famille Abd El Hamid et la formation du Conseil des Princes, il reste quelques niches contestataires. La lignée des Ibn Hassan a souvent fait parler d'elle lors de rebellions, revendiquant son indépendance. La dernière en date a provoqué l'exécution par décapitation du patriarche Eden Ibn Hassan, le grand-père du prince actuel, et de l'allégeance sans condition de la famille pour ne pas subir le même sort...
Au fil des temps de trouble et des temps de paix, la cité a prospéré lentement en particulier à cause de sa situation géographique encaissée et son climat terrible. Elle a toujours été respectée et décriée à la fois (Tous des jaloux !). Ainsi, elle entretient des relations compliquées avec Solarune, parfois rayonnantes parfois plus sombres, sous couvert de rumeurs persistantes de contrebande de tout poil.
Mais les relations diplomatiques semblent s'être adoucies depuis la dernière guerre contre les orques, durant laquelle le Sultan s'est impliqué sans réserve au côté des solarii ! Son fils, Ali, jeune combattant à l'époque, a même été décoré avec son compagnon d'arme Arun Ibn Nadir, pour « service rendu », en toute discrétion bien sûr.
Noblesse :
Les Abd El Hamid :
Il n'y a pas de noble dans cette ville, sauf la famille du Sultan, Abd El Hamid. L'héritier du trone se nomme Ali Ibn Razad Abd El Hamid... et il a 12 frères (les sœurs ne sont pas prises en compte).
le Conseil des Princes :
Cinq familles de marchands dirigent le Conseil des Princes. La hiérarchie sociale est dictée par la richesse et la prospérité qui se mesure aux bijoux portés.
- Fayçal Ibn Nadir
- Abdul Ibn Hassan
-Norister Ibn Chassenuée
- Atoum Ibn Moussaoui
- Bilel Ibn Tariq
Militaire :
Force(s) armée(s) :
L'Armée d'At'ar Telas pour ainsi dire n'existe pas. Tous les artésiens sont capables de se défendre l'arme à la main si besoin et les marchands les plus riches se paient les services d'un mage et de mercenaires pour se protéger ou pour protéger leurs maisons. La cité dispose en permanence de mercenaires prêts à être embauchés car les caravanes et marchands en emploient constamment.
Le Sultan dispose de sa garde personnelle, et surtout de contingent de mercenaires selon le besoin (rare) et de la possibilité de lancer une conscription dans les esclaves.
La légende raconte que la famille du Sultan dispose à volonté de l'aide divine de la Légion de Sekmeth, une sorte de cohorte de fauve-démons. On ne sait pas vraiment s'il s'agit juste d'une légende ou non. Les meilleurs sabreurs de la cité, souvent d'anciens champions des combat d'arène, sont recrutés comme gardes du corps personnels de son Immensité.
- Armée : environ 50 Gardes du Palais (dont 15 dans sa Garde Rapprochée du Sultan) ; les cinq familles princières ont aussi leurs armées propres.
- Puissance navale et aérienne : At'Ar Telas ne possède officiellement pas de flotte, mais étant donné, elle peut compter sur tout le soutien de la flotte aérienne génasi, qui possède le « Djinn des Vents » (lors de sa tournée entre Antalya et At'Ar Telas).
Défense(s) :
- Fortifications : Situé dans un immense canyon la cité n'est accessible que par les airs ou par des gorges naturelles très faciles à défendre par très peu d'hommes. De plus, profondément enfoncée dans le désert brûlant, la logistique nécessaire à une invasion par voie de terre rend la chose quasi impossible. La cité comporte des murailles internes qui finissent d'empêcher toute invasion terrestre.
Diplomatie :
At'ar Telas garde une tradition de neutralité y compris avec les hommes du désert, le commerce d'esclaves en dépend, ainsi que la circulation dans le désert et de nombreuses marchandises (épices...) qui profitent au commerce de la cité.
Solarune : Neutre
une bande de voleurs qui se prétendent marchands! Tout ce qui ce vend de suspect en Melnopée vient de là-bas! Dommage qu'ils soient si influents pour le commerce légal... Le Conseil des Eminarques mets de l'eau dans son vin depuis l'assistance apportée dans la lutte contre les orques. La Guilde du Commerce s'intéresse de plus en plus à cette zone où tout est à faire.
Antalya : Neutre
Des traîtres qui ont bien vite oublié leurs maîtres... Leur salut ne tient qu'à leur commerce d'esclaves et de denrées d'En-Bas qui nous sont indispensables... Il y a peu de contact effectif.
Celvedorian : Neutre
Une population humaine de sauvages indignes de confiance. Nous n'avons que peu de rapports avec eux et c'est pour le mieux!
Ventmithral : Neutre
N'ont pas d'avis encore tant la ville est lointaine.
Galus : Neutre
Ne se sent pas concerné car ce n'est pas un port !
Brisevent : Neutre
Pour le moment, aucun réseau commercial ou diplomatique n'est encore engagé.
Hanteplaine : Neutre
Le replis de la cité de l'Ombre sur elle-même a fortement limité le contact avec At'Ar'Telas.
Economie :
At'Ar Telas est connue pour ses épices et ses esclaves... Mais aussi pour ses marchés: il n'y a pas de "marché noir" dans cette cité. Il n'y a aucune restriction sur le commerce, ainsi dés qu'un artésien a quelque chose à vendre, il devient commerçant!
La seule restriction est que dés qu'on souhaite avoir un étal ou même déposer sa marchandise au sol, il faut payer une taxe au Sultan. De même si l'on souhaite que la garde protège des voleurs à la tire qui sont assez fréquents... si bien que la plupart préfèrent payer. (Les mauvaises langues disent que le sultan aurait ses propres voleurs!)
Tant que quelque chose peut être vendu, c'est légal de le vendre! Ainsi, de nombreux navires venant du continent s'arrêtent en premier à At'Ar Telas pour y déposer leur cargaison "illicite" avant de partir pour Solarune.
La guilde du commerce de Solarune possède un comptoir situé près du souk.
Exportations : Pierres précieuses, soieries, encens, parfum, sable (construction, verrerie...) granit, sel, Huile végétale, épices, céramique, métaux rares.
Importations : Nourriture (Fruits, légumes, viande séchée ou fumée), eau, alcools divers, armes, outils, étoffes, bois, fer, objet magique.
La Magie :
On y trouve des mages et ensorceleurs, mais dans des proportions normales comparées au continent (soit environs un centième de la population) avec une forte tendance à la pratique des magies élémentaires.
Le Divin :
Tous les artésiens vénèrent At'ar (d'abord, car plus cruelle, sa bienveillance est une question de survie) et Telas, deux divinités élémentaires "mineures" locales. Les cultes habituels des Royaumes sont également présents.
La vie à At'Ar Telas :
Mentalité :
"La vie dans le désert est rude. Ne compte que sur toi même, ta famille et conserve ton eau comme ton propre sang. Tout ce dont tu n'as pas besoin, vends-le pour quelque chose d'utile."
Le Crime :
Tous les produits généralement interdits étant ici "légaux" il y a ici peu de rentabilité à espérer pour une organisation criminelle. Les voleurs à la tire et cambrioleurs la nuit marchands le jour, y sont toutefois assez nombreux, mais c'est un métier dangereux à At'ArTelas (surtout pour ceux voulant garder leurs mains) et aucune organisation d'envergure n'a réussi à y perdurer. Il y a toutefois quelques petites bandes "d'associés" qui font peu de vagues...
Les femmes :
Elles sont un statut très particulier, partagé entre objet de désir et objet de respect... quand c'est sa mère ! De fait, il n'est pas rare de voir la garde fermer les yeux devant des délits contre les femmes. Une visiteuse a tout intérêt à se drapper dans une cape longue et une capuche pour ne pas attirer les envies concupiscentes.
Le viol n'est pas considéré comme un crime... Mais reste toutefois illégal! Un tel acte pouvant faire l'objet d'une lourde amende s'il est commis de manière trop visible ou si la victime n'était pas particulièrement "provocante". De plus, même si les femmes sont considérées d'un rang moins élevé, le statut social reste : ainsi, oser toucher aux cheveux de la fille d'un Prince Marchand est extrêmement risqué et passible d'une amputation peu enviable... Les prêtresses des Sibylles et les étrangères (où, en langage Artésien : potentielles clientes!) font également partie des femmes un peu plus "respectées" que la norme.
Les cadeaux :
Il est de bon ton de ne pas fâcher son hôte quand on est convié. Ainsi, vous devez impérativement apporter un présent en remerciement de son invitation. Lui, de son coté vous accueillera avec un bout de pain salé et un dé d'eau. Veillez, cher invité, à offrir un présent en accord avec le statut social de votre hôte pour ne pas le vexer.
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Merci à Deirdre pour son énorme travail, et à tous ceux qui ont participé !